Depuis quand voles-tu ?
Je vole depuis 2013, et suis autonome depuis 2014. J’ai moins volé ces dernières années, après un accident (mais pas de parapente) en 2017, et bien sûr avec le covid plus récemment...
Avec quel matériel voles-tu ?
Je vole avec une Epsilon 8. J’avais une Alpha 5 avant, et après avoir essayé pas mal de voiles « petit B », ça l’évidence s’est imposée à moi : j’allais rester chez Advance. Je trouve ces voiles très agréables à gonfler et piloter. Il parait qu’un défaut des Epsilon 8 est le temps long à rouvrir lors des frontales : je reste vigilant à ça… j’ai pu constater que c’est vrai mais pour moi ça reste une super voile pour ma pratique peu fréquente.
Quelle est ta pratique ?
Je vole assez peu ces derniers temps : peut-être une dizaine de vols par an. Essentiellement des vols sur site, je crosse un peu quand ça veut bien, plus en mode « promenade dans le ciel » que pour la perf et les points de CFD ! J’aime bien varier les sites, et éviter les endroits trop fréquentés… quoique le lac d’Annecy est tellement beau que j’y passe quand même une ou deux fois par an ߘꦬt;/p>
Pourquoi es-tu à Tassin Parapente ?
A la base : par hasard. Je cherchais un club avec Romain quand on a commencé à pratiquer en autonomie après nos stages, il y a eu un bon contact avec Franck : on est venus. Et puis on est restés ! L’ambiance est bon enfant, on apprécie les membres, on a passé de très bons moments ensemble, alors voilà.
Mais il faut bien reconnaître qu’on a moins été présents récemment, vu qu’on pratique moins.
Pourquoi voles-tu ?
En 2006 j’ai fait un baptême d’ULM pendulaire qui a été magique. Aussitôt j’ai passé le brevet, et ai piloté quelques années en région parisienne. Puis, arrivé à Lyon, l’idée était d’associer la montagne au plaisir du pilotage en plein air : l’idée du parapente est arrivée. Un baptême de parachute m’a convaincu que je me sentais mieux sous la voile qu’en chute libre, ce qui a confirmé l’idée ! Alors je me suis lancé… et le plaisir est toujours là.
Quelques beaux souvenirs de parapente ?
Dur de choisir !
Ma première sortie de bocal à Aiguebelette, très laborieuse avec beaucoup de points bas, m’a valu d’avoir la banane pendant 2 jours, c’était génial.
Un beau vol du soir tout simple à St andré, où j’ai pu enrouler avec les vautours qui passaient vraiment près, très sympa.
Je peux mentionner aussi ce cross d’Allevard vers le sud de Belledonne au mois de mars, où je survolais à 2500/3000m des montagnes encore très enneigées : c’était magnifique. J’ai eu la crève pendant une semaine après mais ça valait la peine !