Depuis quand voles-tu ?
J’ai commencé le parapente en 2010.
J’ai profité d’une période « d’indépendance et d’autonomie » pour assouvir un rêve personnel que j’avais depuis très longtemps : voler. J’avais fait un biplace un ou deux ans avant, et je suis allé m’initier avec Valérie et Thierry à l’école Revairmont dans l’Ain.
Avec quel matériel voles-tu ?
Mon aile est une Advance Iota 2, et ma sellette est une Gin Verso.
J’ai également une deuxième voile : une Sky Kea, qui est une voile montagne pour faire quelques vols rando.
Quelle est ta pratique ?
J’ai beaucoup volé, mais ma fréquence s’est bien ralentie ces deux dernières années.
En année de croisière, je volais une cinquantaine d’heures, essentiellement pour du cross, mais aussi quelques vols en local que j’apprécie.
Je vais d’ailleurs reprendre en volant davantage dans le bocal.
J’aime notamment voler sur Saint-Hilaire pour le triangle permettant d’aller en Belledonne, le départ de Méruz pour le tour des Bauges, mais aussi Aiguebelette pour ces cross accessibles.
Pourquoi es-tu à Tassin Parapente ?
Je suis arrivé au club par l’intermédiaire d’un ami, Rino. Par ailleurs, Tassin Parapente était à proximité de chez moi. Et je suis resté pour l’ambiance sympathique, et parce que les pilotes sont des crosseurs acharnés ! La réunion hebdomadaire du jeudi permet de se retrouver entre parapentistes, et l’organisation des sorties régulières est au top : on se sent tirés par le haut par des pilotes motivés et acharnés !
Pourquoi voles-tu ?
Le côté adrénaline que m’apporte le parapente est important pour moi. Les sensations que j’éprouve, la gestion du risque sont un véritable moteur. J’aime aussi l’idée de me surpasser, d’essayer à chaque fois d’aller plus loin, l’esprit de compétition qu’apporte à la fois le club et aussi la CFD (Compétition Fédérale de Distance) organisée par la FFVL. Bref, c’est le côté « challenge » qui me porte dans ma pratique.
Quelques beaux souvenirs de parapente ?
Ce sont des souvenirs très variés : cela peut aller de voler 1h30 par -5°C à Torcieu dans l’Ain au mois de janvier, comme les plus grands cross que j’ai pu faire.
J’ai notamment en tête le triangle FAI de Saint Hilaire jusqu’en Belledonne, le tour des Bauges ou le cross au départ d’Aiguebelette jusqu’à la Grande Sûre.